Il ne s’agit pas d’un site pour parler de ses idées ou comportements suicidaires. Si tu es en état de crise, appelle le 911 ou rends-toi à l’urgence pour recevoir de l’aide.

Reconnaissance des terres

Chez Jack.org nous reconnaissons humblement et respectueusement le territoire autochtone de l’île de la Tortue, plus précisément, les terres traditionnelles, non cédées ou visées par des traités des Premières Nations, des Inuits et des Métis qui constituent le Canada, dans lequel vivent et travaillent les membres de notre personnel, ceux de notre réseau croissant de jeunes et nos partenaires. Notre siège social de Toronto, qui est régi par les traités du Haut-Canada et fait partie du traité « bol à une seule cuillère », est situé sur le territoire traditionnel des Hurons-Wendat, des Haudenosaunee et des Mississaugas de Credit. Nous reconnaissons notre privilège de vivre et travailler sur ces terres et d’autres terres, d’un océan aux deux autres. Nous nous engageons à contribuer aux efforts pour les honorer, les respecter et en prendre soin. 
 
Étant dévoué.e.s à un avenir où chaque jeune se sent à l’aise de parler de sa santé mentale, d’en prendre soin et d’aller chercher le soutien qu’il.elle mérite, nous aspirons à faire preuve de reconnaissance, de respect et d’attention envers tous les peuples sur ce territoire, tout en reconnaissant les répercussions particulières du colonialisme, du racisme systémique et des traumatismes intergénérationnels sur la santé mentale des jeunes autochtones. Pour ce faire, nous nous engageons à favoriser la réconciliation, à travailler activement à intégrer des perspectives autochtones à nos pratiques et à nous associer à des personnes et à des organisations autochtones actives dans le domaine de la santé mentale des jeunes. En nous employant à stimuler les jeunes autochtones et à les soutenir au moyen de programmes adaptés à leur culture, nous visons à appuyer les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation, tels que : aider à combler les écarts dans le système de soins de santé mentale (#19) et réfléchir activement afin de reconnaître, de respecter et de prendre en compte les différences distinctes dans les besoins des populations autochtones en matière d’accès aux services en santé mentale et d’y répondre (#20).